La lui présenter… Oh ca ne risquait pas d’arriver. Et pas uniquement parce que c’était sa double personnalité, mais tout simplement parce qu’elle n’aurait jamais présenté Nikki a quelqu’un qu’elle appréciait. Nikki pouvait être gentille quand elle le voulait, mais la plupart du temps on ignore comment elle risque de réagir. Tout dépend de son humeur du jour et bien sure du moment même. Elle pouvait être gentille, garce tout comme elle pouvait se montrer capricieuse et essayer de séduire n’importe qui. Vraiment pas quelqu’un de facile à tenir en laise. Mais ca vous avez surement déjà remarqué.

« Je ne suis pas sure que ca soit une bonne idée. »

Bien que Ryder l’assure que ce n’était pas de sa faute, que de toute manière tôt ou tard cela allait arriver. Ca ne changeait en rien les sentiments de culpabilité qu’elle avait. C’était sa faute. Enfin non celle de Nikki.. non non la sienne. Nikki était sa responsabilité, sa maladie. Et c’était sa faute si elle n’arrivait pas à la faire disparaître. Néanmoins Jasmine ne répondit pas. Par la suite Ryder s’était relevé pour rentrer chez lui, mais avec un essuie de bain autour de son corps nu, c’est sure que cela n’allait pas trop le faire. Se relevant du canapé, Jasmine s’était approché de sa chambre ou elle se mit à la recherche de vêtements pour homme. Et après un certain temps elle trouvait quelque chose. C’était trop grand pour Ryder, mais c’était mieux que l’essuie de bain n’est-ce pas.

« Oh non, tu peux les garder. Je n’ai aucune utilité à ses vêtements. Et perso je ne tiens même pas savoir à qui ils appartenaient. Surement un des petits amis de Nikki mais je tiens vraiment pas à savoir. »

Oh que non, elle ne tenait pas à savoir. Surtout que le corps de Nikki était le sien et elle ne tenait vraiment pas savoir ce qu’elle faisait avec son corps lorsqu’elle prenait possession du corps. Heureusement qu’elle n’avait aucun souvenirs des galipettes de Nikki. Dieu merci ! C’était déjà assez difficile comme ca. Jasmine sourit à Ryder et fermait la porte derrière lui, avant de la fermer à clé et de s’allonger sur son lit, avant de finir par s’endormir.

FIN